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 Les Chroniques de Lorkdaille

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Evan Caïn
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Evan Caïn


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MessageSujet: Les Chroniques de Lorkdaille   Les Chroniques de Lorkdaille Icon_minitimeDim 13 Déc - 23:54

bon et bien voila...pour tous ceux qui voudrait savoir d'où vient une partie des idées de ce forum, elles sont tirées d'un livre que j'écris depuis déja presque 2 ans et demi....et je ne suis pas prêt de le finir ^^.



PROLOGUE
Une ombre dans les ténèbres



Un vent chaud, soufflait dans les cavernes du royaume des ténèbres, transportant où bon lui semblait, l’odeur putride de cadavres en décompositions mêlée à la cendre et au sang.
Les parois du lieu étaient d’un rouge sombre, tacheté de multiples galeries, et recouvertes en certains endroits d’une multitude de squelettes, figés dans la roche pour l’éternité dans une agonie sans fin. Le plafond était maculé de stalactites sombres aussi tranchantes que des lames, faisant penser à une main de mort prête à s’abattre et à ôter la vie à chaque instant. Le sol était un large réseau de routes emmêlés les une sur les autres au milieu desquelles se trouvaient de gigantesques fournaises, seules éléments de se monde cauchemardesque capables de chasser l’obscurité qui hantait l’atmosphère, et dont les flammes, coloraient les murs d’une teinte orangée, faisant ainsi danser les ombres des rochers tel des spectres prisonniers de ce lieu maudit.
L’une d’entre elles sembla échapper au maléfice qui régnait en ce lieu. Bondissant d’une des galeries, elle se faufila hâtivement à travers le large réseau qui superposait les fournaises.
Sa longue cape noire claquait l’air et la capuche qui recouvrait son visage ne se détacha à aucun moment devant la précipitation de l’inconnue, d’où seules, quelques mèches couleur blé en dépassait.
Elle tenait dans l’une de ces mains une épée au pommeau d’ivoire blanc comme la neige relié par une lanière de cuire à son poigné, et dont la lame en argent pure reflétait des contrastes bleu et mauve à la lueur des flammes. Tandis que dans l’autre, elle étreignait un étrange paquet enveloppé de draps avec force
L’ombre se précipitait entre les dédales de pierres, voyageait à travers les innombrables cavernes, et ne s’autorisait que quelques haltes lorsqu’il lui fallait retrouver son chemin au milieu de cet immense labyrinthe. Elle savait néanmoins que s’attarder lui coûterait un cher prix, et préféra redoubler d’effort plutôt que de reprendre son souffle.
Apres une longue course effrénée, l’ombre finit par arriver devant une porte immense, entièrement faite de métal et gardée de chaque côté par deux monstrueuses statuts noires.
Celles-ci étaient aussi grandes que la porte qu’elles surveillaient, et représentaient deux molosses bicéphales en position d’attaque. Leurs têtes étaient surplombées de deux paires de cornes gigantesques au niveau desquelles retombait une épaisse et longue crinière écailleuse, hérissée. Leurs yeux, bien que fait de roche, brillaient d’une lueur malsaine. Leurs crocs acérés, et leurs puissantes griffes pouvaient facilement trancher et broyer n’importe quoi et les trois longues queues fourchues dont elles étaient pourvurent s’étaient figées dans le temps au moment où elles claquaient l’air. L’ombre, qui à leur coté ressemblait à une fourmi, ne daigna pas jeter un regard sur ces gardiens de pierre, et continua sa course.
Lorsqu’elle eut franchit les large portes que gardaient les molosses, un grand escalier de marbre qui descendait en arc de cercle vers une vaste salle circulaire s’offrit à elle.
Celle-ci était complètement différente du reste de ce Monde, l’ambiance et l’atmosphère qui régnaient dégageaient une chaleur bénéfique et en même temps une forte puissance mystique. Les murs gris pâle étaient teintés d’un nombre incalculable de symboles rupestres et le plafond était un large dôme dont le centre offrait l’unique vision sur le monde extérieur. Le ciel était dégagé et permettait ainsi à l’ombre d’apercevoir les deux Lune qui progressivement se rapprochaient de leur union.
Les Lunes étaient sur le point de s’aligner comme elles le faisaient à chaque fois, ce que l’ombre attendait avec impatience. Leurs rayons baignaient le centre de la pièce d’un faisceau argenté, la où se trouvait un étrange cercle composé de six symboles, dont la taille pouvait englober une armée entière et dont l’énergie qui s’en dégageait semblait être la source de puissance de cette salle.
L’ombre se précipita à nouveau pour dévaler les escaliers, et se hâta vers le cercle alors que l’union des Lune approchait de seconde en seconde. Elle s’agenouilla devant se cercle de lumière, et y déposa délicatement le paquet qu’elle portait depuis tout se temps.
La lumière permit d’y discerner alors le visage d’un nourrisson paisiblement endormit, et qui, malgré la course effréné de son porteur, n’avait à aucun moment ouvert les yeux. L’innocence qui émanait de l’enfant rendait une partit des forces perdus par son porteur lors de son parcourt. Cette dernière reprit progressivement et rapidement son souffle, et contempla le visage angélique de l’enfant qu’elle allait voir disparaître pour toujours. Néanmoins, il était impératif pour elle de réaliser un tel sacrifice, il en valait de la survit de l’univers et de toutes les vies qui y résidaient. Mais commettre un tel acte lui demandait une force plus grande que toutes celles qu’elle avait employées jusqu’ici.
Elle finit par s’humecter le pouce et fit le signe de la croix sur le front du nouveau-né, tandis que d’un un chuchotement qui trahissait sa tristesse, elle psalmodia:
- In nomine Patris, et Filii, et Spiritus Sancti. Amen.
Puis elle embrassa l’enfant sur le front une toute dernière fois, avant de se retirer le cœur alourdi.
Les deux Lunes ne formèrent désormais qu’un seul astre au milieu de la nuit, et leur couleur se mit à virer à un argent pur ; le rituel pouvait enfin commencer.
Un puisant rayon relia les deux mondes par le biais des astres lunaire, et se dirigea tout droit sur le cercle où se reposer l’enfant. Lorsqu’il entra en contacte avec la terre, les symboles de toutes la pièce se mirent a luirent les un après les autres d’un puissant éclat de fer, tandis que ceux qui se situer dans le cercle brillaient tous d’un couleur différente, il y avait à se moment là une formidable mosaïque de couleur dans laquelle se mêlaient du rouge, du vert, du bleu, du jaune, du violet, et de l’argent
Le sol qui se situer à l’intérieur du cercle se mit alors à se craqueler en d’innombrables fissures de couleur irisées, jusqu’à se qu’il ne reste plus qu’un vaste lac cristallin sur lequel l’enfant dormait. Puis, de nombreux éclairs se mirent à jaillir de chacun des symboles qui formaient le cercle, la couleur de ces éclairs correspondait à celle du symbole d’où il jaillissait, et leur nombre ne cessait d’augmenter au court du temps. L’intensité des éclairs fut telle que chacun de leurs passages au dessus du cercle produisaient un son strident qui finit par surpasser les pleurs de l’enfant réveillé par un tel vacarme.
Les éclairs formaient à présent une sorte de dôme coloré sur l’ensemble du cercle, et lentement, les rayons de la nouvelle lune absorbaient l’enfant qui ne cessait de gémir devant un spectacle effrayant.
Lorsque les pleurs de l’enfant parvinrent jusqu’à l’ombre, celle-ci venait a peine de sortir de la pièce, les cries de détresse du nourrisson déchiraient sans cesse le cœur meurtrie de l’inconnue. Puis, une explosion de lumière se rependit dans toute la pièce, et disparue l’instant d’après, laissant au milieu de la salle, un cercle vide qui perdait peu à peu son éclat.
Des larmes se mirent a perlaient sur les joue de l’inconnue, elle se maudissait d’avoir eu à faire un tel acte, si elle avait put, elle aurait tous arrêter, mais même si elle ne cessait de se répéter que son geste était nécessaire pour la survit des autres, elle ne pouvait néanmoins retenir ses larmes.
C’est alors qu’un feulement se fit entendre au loin devant elle, sans avoir a levé les yeux, elle savait déjà se qui l’attendait et si était préparer a l’avance, pour elle cela ne servait plus a rien de fuir, maintenant qu’elle l’avait fait, rien ne pouvait l’effrayer, pas même la mort.
L’ombre resserra l’étreinte qu’elle exercé sur son épée et fit face a ses ennemis : une horde de créatures camouflées par l’obscurité, dont les regards de braises et les crocs acérés luisaient dans les coins noirs du couloir. Chacune d’entre elles tenaient une épée dans ses mains, et leur feulement trahissait leur excitation à vouloir combattre, mais aussi leur colère.
Désormais, ce n’était plus des larmes de tristesse qui coulait le long du visage de l’inconnue, mais des larmes de rage et de haine. Sans attendre une quelconque riposte des ses assaillants, l’ombre se rua sauvagement sur ses ennemis, son épée luisait encore plus qu’à son habitude, l’arme savait que son maître allait livrer son dernier combat, elle se mit alors à mettre le maximum de leurs capacités afin de soulager sa peine.
Les créatures non plus ne perdirent pas un instant pour lancer leur assaut, tous se ruèrent avec férocité, en poussant d’effrayants cries de guerre, qui furent succédés par l’entrechoquement des lames et par de violentes explosions.
L’écho du combat se répandit dans tout le royaume des ténèbres, Déchirant ainsi le silence morbide de se lieu que les humains appellent…l’Enfer
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Evan Caïn
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MessageSujet: Re: Les Chroniques de Lorkdaille   Les Chroniques de Lorkdaille Icon_minitimeDim 13 Déc - 23:55

Chapitre 1
Evan Caïn



Par-dessus les hautes collines qui surplombaient la vallée de Halgörn, surnommée la «vallée du Destin», un soleil timide sortait lentement de son sommeil, violaçant un ciel dénué de nuages. Ces faibles rayons dardaient l’immensité verdoyante de la vallée qui s’étendait dans le lointain, révélant ainsi l’unique chaîne de montagnes au milieu de cette Mer d’émeraude. C’est d’ailleurs grâce à ce rattachement de pierre et de roc que cette vallée devait sa légende : les montagnes formaient une sorte d’œil gigantesque, constamment pointé vers l’infinité du ciel, comme si cet œil pouvait protéger les habitants des effets néfaste du destin. Car il faut l’avouer, pendant des siècles, de nombreuses guerres ont éclatées de part le monde, mais jamais aucune d’elles n’atteignit ce lieu.
En son creux se cachait un paisible petit village qui encerclait l’iris de pierre, que les rayons de l’astre solaire chatouillaient afin de commencer une nouvelle journée. Mais pas n’importe laquelle, ce levait de soleil marquer en même temps la veille du solstice d’Eté. Et pour les villageois, se jour était signe de fête.
Il arrivait que certaines habitations soient quelque peu, dispersées au milieu des champs et des collines, mais l’ensemble était relié au village central par une route qui zébrait la forêt de part et d’autre.
L’une d’entre elles semblait être animée depuis longtemps. La cheminé crachait continuellement une douce et chaude odeur de nourriture, le linge encore humide était étendu, et la plupart des corvées ménagères semblaient terminées. Il ne restait plus qu’a la maîtresse de maison qu’à s’occuper de la tâche la plus difficile.
Elles s’engouffra dans une des pièces où l’obscurité régnait pleinement, seule, quelques timides rayons de soleil filtraient à travers les volets fermés de l’unique fenêtre de la pièce, que la femme s’empressa d’ouvrir. Une fois cela fait, la chambre profitait enfin dans la pâle lumière du matin, chassant les ténèbres et offrant ses secrets. A l’intérieur se trouvait un coffre en chêne situé juste a coté de la porte, ainsi qu’un large lit de même composition qui quand a lui, était situé a un mètres de la fenêtre.
Son propriétaire dormait paisiblement, cachait par l’épaisse couette, il n’avait rien à craindre de la lumière, seul son bras pendait mollement hors du lit, ainsi qu’une longue mèche de cheveux brins.
Sa mère le regarda tendrement, puis, vint s’asseoir à ces cotés. Et tout en lui caressant sa chevelure, elle se mit à lui parler d’une voie douce.
- Debout gros paresseux, le soleil est déjà levé, et tu devrais en faire autant.
Le garçon répondit par un grognement endormit, se qui donna un sourire a sa mère. S’attendant a cela, la femme haussa légèrement la voie afin de bien se faire entendre par l’endormit.
- Evan !! Sais-tu quel jour nous somme ?
En guise de réponse, le jeune homme produisit un chiffre à l’aide de ses mains, langage qu’il utiliser souvent avec sa mère quand il avait la paresse de discuter.
- Cinq ?... Tu veux dire vendredi ?!
Evan répondit par un « oui » à l’aide du pouce. La mère du garçon se mit à rouler des yeux, et se releva calmement, sans perdre son flegme habituel. Mains sur les hanches, elle toisa son fils du regard.

- Donc, tu devrais savoir qu’aujourd’hui c’est ton dernier jour d’école ?

Un long moment suivit la phrase de la femme, avant que le garçon ne comprenne enfin son erreur. Et la seconde d’aprés fut très brève : il se jeta hors de son lit d’un rapide bond en projetant sa couette au loin. Puis il se rua sur le coffre afin de l’ouvrir, mais manque de chance, celui-ci était fermé.
- Bon dieu !!! Mais où ai-je bien put mettre cette fichu clef ? Elle s’est tout de même pas envolée ?
Paniqué, le garçon se mit à fouiller la chambre au peigne fin sans trouver la moindre trace de l’objet en question.
Sa mère, qui depuis tout se temps n’avait pas bougé, se pinça les yeux de lassitude, certes, elle avait l’habitude de se genre de scène avec son fils, mais il fallait avouer que sa devenait parfois insupportable par moment. Elle profita de l’instant où Evan passait à ses cotés pour attraper d’un geste vif et précis la longue mèche qui pendait dans sa nuque. L’effet fut immédiat, et l’adolescent tomba lourdement par terre, victime de sa propre hâte.
Le teint frais et le regard encore déboussolé à cause de son agitation, le garçon ne pouvait cependant pas cacher la grimace de douleur qu’il ressentait au crane en ce moment. Les traits de son visage lui donnaient un air jeune, et malgré la douleur, on pouvait lire dans ces yeux une vitalité et une curiosité sans limite.
Il avait pour seul vêtement un large pantalon beige qui lui descendait en dessous des talons, ainsi que deux protèges poignets pourpres en tissu. Ces cheveux étaient plus court sur les cotés qu’à l’avant de son crâne et le garçon s’était laissé pousser ses cheveux principalement a l’arrière et se les gardaient coiffés a la manière d’une longue mèche. Mèche qui se trouvait désormais entre les mains puissante -mais douce-de sa mère, Marina Caïn : une femme souriante d’environ la quarantaine, vêtu de la même robe magenta qu’elle utilise constamment lorsqu’elle fait le ménage ou qu’elle sort faire les courses, superposée par un tablier grisâtre, taché par ses nombreuses cuisines d’apprentissage, toutes aussi catastrophique les une que les autres, son mari aimait d’ailleurs a lui répéter que la nourriture qu’elle préparer pourrait être utiliser comme le poison le plus puissant qui ait existé dans l’univers. Sa chevelure sombre faisait ressortir ses magnifiques yeux verts, et la douceur de son visage cachait un tempérament volcanique.
Sans relâcher la chevelure de l’adolescent qui poussait des gémissements de douleur, elle le traîna jusqu’au coffre où il se trouvait l’instant d’avant, et lui releva la tête afin qu’il puisse contempler ce qu’elle appelle chez lui « la bêtise du jour ». Aujourd’hui –et se n’est pas la première fois- Evan n’avait pas fait assez attention a se qui l’entourait, ne remarquant pas que la clef du coffre se trouvait dans la serrure du coffre en question.
Evan resta muet devant la stupidité de la scène, et préféra détourner le regard lorsqu’il ouvrit lentement le coffre d’une main, tout en s’assurant de l’autre qu’il ne lui manquer aucunes mèches de cheveux.
Au même moment, ses poumons, son cœur, et tout le reste de son organisme se remirent à le faire souffrir comme à leur habitude. Encore une fois, Evan avait complètement laissé parlait son instinct, oubliant a se moment là de mieux gérer ses action. Il n’eut donc pas d’autre choix que d’attendre dans la souffrance que la crise passe à nouveau, ou bien qu’elle l’emporte dans la tombe.
Il parvint néanmoins à faire un très gros effort pour ne pas s’évanouir, l’air s’était fait rare en lui, et sa tête se mettait à bourdonner sauvagement. C’est alors qu’une main douce et chaleureuse s’apposa sur l’épaule du garçon, sa mère venait de redonner a Evan cette assurance qui lui était propre, et sa volonté de vivre fut plus forte que la Faucheuse, encore une fois, elle devait attendre avant de réclamer son dut.
Lorsque la crise fut passée, Evan adressa un sourire radieux à sa mère, un sourire plein de reconnaissance et d’affection. Marina rendit chaleureusement le sourire de son fils…pour lui mettre une gifle monumentale sur le sommet du crâne la seconde suivante. La douceur et le calme avaient complètement disparut de son corps, pour faire place à une petite colère.
- Mais qu’est-ce qui t’a prit Evan ? Je peux savoir pourquoi tu dormais dans une tenue pareille ? Tu sais pourtant bien que se n’est pas bon pour ta santé.
- Excuse-moi ‘man, répondit le jeune homme gêner en se massa énergiquement la bosse qui venait de se former sur sa tête, mais il a fait chaud cette nuit et…
- … Je n’en n’ais rien à faire de la température qu’il fait, c’est ta santé qui en dépend, et tu le sais bien.
Evan le savait en effet, plus que tout d’ailleurs, mais il ne supporter plus de toujours devoir vivre dans cette inlassable peur de mourir a chaque instant, parfois il lui arrivait de penser que ses parents ne pouvait pas comprendre la peine qu’il ressentait a toujours s’attendre a perdre la vie a chaque instant de son existence, seulement, perdre leur unique enfant pouvait être bien pire que de perdre la vie tous court, on souffre d’une blessure qui ne guérit jamais, et dont la douleur s’estompe en même temps que la vie.
Et cette peur était dût à une maladie inconnue qu’il possède depuis la naissance : l’ensemble de son organisme est faible de nature, il ne lui arrive jamais un moment sans qu’un de ces organes ne lui fassent défaut, et le laisse agonir entre le monde des vivants et celui des morts.

Constatant que la discussion était close entre eux, sa mère lui lâcha la mèche, et l’étreignit amoureusement dans ses bras. Puis, elle l’aida doucement à se relever ainsi qu’à arranger la pagaille qu’avait crée le garçon après son l’agitation.
Quand Evan commence à s’habiller, Marina
- dépêche-toi de te préparer, lui dit-elle d’une voie qui avait retrouvé sa douceur, si jamais tu a un problème appelle moi d’accord ? Puis elle sortit définitivement de la chambre afin de s’occuper du petit déjeuner. Et n’oublie pas que la cuisine se trouve en bas de l’escalier qui se situe devant ta chambre, hurla-t-elle d’un ton narquois.
La seule réponse qui lui parvint fut un coup sec comparable à celui d’une tête qui vient de rencontrer un mur

Une fois arriver dans la cuisine vêtu cette fois ci d’un T-shirt blanc sans manche superposé d’une légère veste a manche courte d’un bleu sombre, du même pantalon beige, et, coiffé d’un bandeau en tissu qui lui cachait le haut du front et relevait la plupart de ces cheveux, Evan sentit la douce ambiance qui régnait dans la pièce, et fut submergé par cet intense bonheur que l’on appelait la faim.
La pièce était assez grande par rapport au reste de la maison, une large fenêtre laissait passer la lumière du jour, à la même manière que l’unique porte de la salle, situer juste a cotés. La cheminer était creuser dans le mur même de la maison, et la bonne odeur qui s’en dégageait signalait au garçon la préparation d’un délicieux ragoût. A sa droite se trouvait une table en acajou, entourée de tabouret en frêne. Tous deux avaient était sculptés par une main de maître, et les nombreux motifs qui les ornaient étaient aussi beaux que mystiques. Sur la table était posé un plateau remplit d’une bonne quantité d’œufs et de viandes grillées encore fumantes dont l’odeur alléchante attirait inlassablement le jeune garçon.
Ne se faisant jamais prier pour si peu, Evan s’installa confortablement et se mit à engloutir son plat quand sa mère entra par la porte extérieure, avec dans ces mains une panière de linge tressée.
- Tiens ?! tu ne t’es pas perdu pour une fois, ricana gentiment sa mère, puis elle posa la panière de linge à coté de son fils et se mit à plier soigneusement les affaires.
- Très drôle, rétorqua son fils d’un sourire amère, mais je te signale que sa peut arriver a n’importe qui se genre de scène.
- Sauf qu’à toi ça arrive tout le temps
Touché en plein orgueil, le garçon préféra terminer son petit déjeuner en bougonnant plutôt que cette discussion en souffrant.
Il finit au bout d’un court instant par constater qu’il manquer quelque chose dans cette maison depuis son réveille, ou plutôt quelqu’un.
- Où est papa ?
Sa mère prit une profonde inspiration liée à l’exaspération, mais elle ne perdit en aucun cas son sourire radieux.
- Evan !! Tu es impardonnable par moment. Ton père ne t’a dit pas plus tard qu’hier soir qu’il irait avec Aaron faire une armoire pour sa famille.
Voyant que son fils restait interdit, Marina apposa sa main sur le front de son fil et se mit à chantonner d’une voix douce :
- « quand l’esprit est embrumé, l’homme se voit égaré … »
- « …et quand l’homme est égaré, sa vie va bientôt s’achever »
Le garçon et la femme avaient fini la chansonnette en cœur, et se regardaient désormais avec tendresse. Marina enlaça son fils en l’embrassant sur le front, puis lui ordonna de se dépêcher car il risquerait d’être en retard pour son dernier jour d’école.
L’adolescent se hâta de manger, puis s’enfuit à toute allure la bouche encore pleine de viandes et d’œufs.
- EVAN !!! Hurla sa mère à l’adresse de son fils, tous en brandissant le sac de se dernier.
Le garçon revint quelques secondes plus tard la bouche vide, et attrapa le sac qu’il accrocha en bandoulière, mais lorsqu’il voulut se ruer de nouveau vers la sortit, il fut stoppé net par sa mère qui venait de lui attraper sa mèche avec la même vitesse et la même précision, afin de l’attirer vers elle pour recevoir un baiser de son fils avant cette «dur journée de labeur».

Le garçon parcourut la forêt à allure modérée, son cœur ne pouvait supportait un effort trop intense que dans certaines conditions qui échappent à ses parents, jusqu'à se qu’il arrive sur la route qui conduisait au village.
L’endroit profitait pleinement du soleil, les oiseaux entonnaient leurs chants afin que toute la forêt profite pleinement de cette belle journée. Evan semblait moins malade sous l’astre solaire, ces rayons donnait des couleurs a son visage, lui donnant un tint frais. Et le garçon se mit gaiement en route vers sa destination. Il marcha un long moment en profitant de se que la nature lui offrait quand un étrange bruit le sortit de sa mélancolie. Se retournant pour mieux voir de quoi il s’agissait, Evan aperçut un impressionnant attelage de chevaux, qui tiraient une sorte de grande calèche. Il voulut s’avancer d’avantage pour la mieux distingué, mais le conducteur semblait ne pas l’avoir remarquer, et les chevaux lui fonçaient droit dessus.
- Mais il est malade ce type, et le garçon sauta sur le rebord de la route au moment où il allait se faire écraser.
Un épais nuage de poussière se souleva au passage du véhicule, enveloppant le garçon dans sa totalité. L’engin, fit un long grincement sourd lorsqu’il se mit à freiner -dont la manœuvre réussit au bout d’une bonne minute- et une voix bourrue s’y fit entendre :
- Bon Dieu mais c’est pas vrai, j’en ai encore écrasé un.
L’homme qui venait de parler n’était autre que Malcolm, l’éleveur de chevaux de la région.
Il était assez grand et plutôt trapu. Il portait une longue barbe brune ainsi qu’une coiffure afro énormément longue. Il était vêtu d’une large veste sombre en cuir sous laquelle on pouvait entrevoir, une chemise blanche tachait par les activités de son porteur, et dont les manches étaient retroussées jusqu’aux coudes, laissant voir d’impressionnants bras musclés, au bout desquels étaient accrochaient deux protége poignet en laine noire. Il portait un pantalon sombre très sale, ainsi que des bottes en cuir imposantes.
Il descendit lourdement du véhicule et se dirigea vers la masse étendu sur le cotés de la route, il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour se rendre compte que cette masse en question n’était autre qu’Evan.
- Tiens ?! le jeune Caïn, comment tu vas ?
Evan se releva mollement, et put dire entre deux toussotements un bonjour convenable.
- Sa n’a pas l’air d’aller mieux ta maladie, et le colosse aida d’une main a remettre l’adolescent sur ses pieds.
Puis il se mit à regarder attentivement sous l’engin
- bon ! S’il te plaît, aide moi a trouver se fichu cerf
- Un cerf ? mais pourquoi ?
- Parce que je viens d’en écraser un, tu n’as pas entendu ?
Complètement déboussoler devant la remarque du cochet, Evan mit un certains temps avant de répondre
- Heu…la seule personne que tu a faillit écraser, Evan appuya bien sur le mot faillit, c’est moi !
Malcolm resta un instant à regarder le garçon, puis finit par lâchait un « autant pour moi », avant de retourner a sa place sur l’immense charrette.
Celle-ci devait faire au moins une dizaines de mètres de long, sans parler de la hauteur qui faisait approximativement trois bons mètres. Elle était taillée dans un bois verdâtre très résistant, orné d’une multitude de jointures métalliques, afin de parfaire sa solidité. Elle comportait quatre pairs de roue, réparties également sur la géante charrette.
Evan ne put retenir son admiration devant un tel engin, il se précipita à la suite du cocher et lui attrapa la veste a la manière d’un enfant.
- Dis-moi Malcolm, qu’est-ce que c’est cette chose ? une de tes nouvelles inventions ?
Le colosse se retourna vivement vers Evan avec un large sourire aux lèvres
- ha tu as remarqué ? Oui c’est une de mes nouvelles inventions. C’est un moyen de transport révolutionnaire qui permettra à un grand nombre de personne de voyager en même temps pour aller à tel ou tel endroit. Laisse-moi te présenter le Tégévé.
- Le quoi ?
- Le Tégévé sombre idiot, t’es boucher ou quoi
Evan prit une profonde inspiration puis apposa ses mains sur l’épaule de Malcolm, l’air encore plus fatiguer que d’habitude.
- écoute vieux, je suis désolé de te le dire comme ça mais…sa marchera jamais ton truc, avec un nom pareille c’est voué a l’échec.
- Comment peux-tu savoir sa si tu n’à même pas essayer ?
- Mais sa parait logique, t’as vue le nom, personne ne voudra monter la dedans.
- A oui ? fit Malcolm d’un ton narquois, alors dis moi qu’est-ce qu’ils font là eux ?
Evan suivit la direction qu’indiqua le cocher et put apercevoir dans la charrette une vingtaine d’adolescents d’ages différents. Tous, sans exception étaient à l’école avec lui, et ce dernier reconnut l’efficacité de l’engin en grommelant.
Malcolm explosa d’un rire tonitruant, et invita Evan à s’installer à ses cotés.
- Non merci, s’excusa-t-il mollement, mais la poussière risque d’aggraver ma maladie, je ne veux pas prendre de risque.
Malcolm regarda le garçon déçut, il savait que sa ne devait pas être rose tout les jours pour se petit bonhomme. Il l’aida donc à grimper dans le véhicule, car il fallait bien l’avouer, le marchepied n’était pas encore installé sur le véhicule.
A L’intérieur, Evan sentit l’odeur de l’écorce de liège mélanger à la sève du sapin et l’atmosphère qui y régnait était lourde. Les sièges étaient également faits de bois et ils étaient polis et taillés avec une magnifique précision. La plupart d’entre eux étaient déjà occupés par l’ensemble des élèves, et aucuns ne voulut laissait Evan s’asseoir a ses cotés, de peur d’être contaminé par sa maladie.
Le garçon avança d’un pas traînant vers le fond du véhicule, le regard baissait. Il ne s’aperçu pas que la charrette venait de redémarrer, et l’accélération produite par son départ projeta le garçon a terre. Personne de daigna lui venir en aide, et l’adolescent dut se relever seul alors qu’il avait le souffle coupé sous le choc. Puis il parvint finalement par trouver un siège libre et s’y assit, il regardait le paysage défilait a travers les vitres installées pour protéger les voyageur de la pluie, du froid, et de bien d’autre problèmes. Malgré sa solitude, le garçon ne put s’empêcher d’exprimer un sourire, l’invention de Malcolm pourrait peut-être bien finir par servir à quelque chose.

Apres un long moment, l’immense charrette finit par s’arrêter devant une église typique. C’était un bâtiment peu spacieux, mais étonnement haut, dont le clocher se situait au sommet de son unique tour.
Evan attendit que tout le monde soit sorti du véhicule pour descendre à son tour. Malcolm l’attendait a la sortit avec un paquet a la main, et le sourire aux lèvres.
- Tien ! dit-il en lui tendant le paquet, c’est pour remercier ton père du travaille qu’il a fait pour moi. Je dois avouer que sans son talent pour le bois, je ne sais pas si je serais parvenu à le construire.
Il se mit à frotter d’un air nostalgique le véhicule qui lui avait prit tant d’années de sa vie, mais maintenant il était parvenu à réaliser son rêve, et il ne s’arrêterait pas la aussi facilement. L’homme était déterminer a faire évoluer se village dans le but de rendre la vie plus facile pour ces occupants.
Evan passa son sac devant lui afin d’y mettre le présent de Malcolm, d’où se dégager une délicieuse odeur. Sans détourner le regard du véhicule, le cocher continua à parler.
- c’est une tarte aux pommes, c’est ma femme qui l’a faite.
- Sympa, répondit le garçon en remettant son sac sur le dos, je lui adresserais tes remerciements. Je suis sur que sa lui fera plaisir. Mais tu connais mon père, il ne supporte pas trop qu’on le paye d’une façon ou d’une autre.
- Et oui, il a la main sur le cœur, toujours prêt à aider les autres. En se sens, tu lui ressemble grandement, Tu possède également la patience et la gentillesse de ta mère quand tu veux.
- Comment ça quand je veux ?
Piquer au vif, Evan commença à s’enflammer devant la remarque de son ami, qui lui frotta énergiquement la tête de sa puissante main tout en s’esclaffant.
- Il m’écrase avec sa patte d’ours, pensa le garçon
Le tintement des cloches sorties Evan et Malcolm de leur dispute amicale, signe que les cours allaient enfin débuter. Le garçon salua de la main son ami et se dirigea vers le bâtiment pour sa dernière journée de torture.


A l’entrée du village se dessina une silhouette imposante. Celle-ci marchait d’un pas lent, et son corps tout entier était recouvert d’une longue veste cape noire. L’individu esquissa un sourire lors de son entrée dans le village, il regardait autour de lui la joie qui y régnait, et inspira profondément l’air pur de la vallée.
- enfin…, susurra l’inconnu, après tout se temps… je les ait retrouvé.
Puis il se dirigea vers la taverne la plus proche, sans perdre un seul instant se sourire qui trahissait son excitation.


Dernière édition par Ederon Khaliare le Lun 14 Déc - 0:09, édité 1 fois
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Evan Caïn
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MessageSujet: Re: Les Chroniques de Lorkdaille   Les Chroniques de Lorkdaille Icon_minitimeDim 13 Déc - 23:56

Chapitre 2
Souvenirs du passé


C’est dans un bel après-midi que retentit la cloche de l’église, annonçant enfin la fin des cours, et ces aussi dans un brouhaha infernale qu’une grande quantité d’adolescent sortaient en courant, savourant leur nouvelle liberté.
Les élèves se dispersaient, un peu partout dans le village, cherchant un endroit tranquille où ils pourraient parler de leurs futures escapades, de leurs projets pour les vacances, et de tout un tas d’autre chose à faire pour se divertir.
Les préparatifs de la fête avançaient a grands pas, tous le monde dans le village y mettait du sien, on s’amusait, on plaisantait des quelques calembours que certains lurons aimaient faire, bref, le village vivait plus qu’à son habitude.
Au milieu de toute cette masse d’agitation joyeuse, seul Evan restait en retrait, il marchait d’un pas traînant, et toussait lorsqu’un nuage de poussière venait lui gifler le visage par la force du vent.
Evan prit donc seul, le chemin de la maison, heureusement pour lui, ces parents avaient placé de nombreux repères pour permettre à leur fils de ne pas se perdre lors de ses déplacements dans le village. C'est d'ailleurs ce qui donna le côtés calme et réfléchit du garçon, cette habitude d'analyser tout se qui l'entoure lui avait donner un oeil qui pouvait percevoir le moindre détail –enfin, quand il avait l'esprit clair.
Durand le trajet du retour, Evan songea nostalgiquement à sa perpétuel solitude, celle qui lui valait le méprit et l'écart des autres personnes de son âge. Tout les adolescents étaient persuadés que la maladie du garçon était contagieuse, de se fait, jamais personne n'ose l'approcher. Bien que leurs aînés leur fassent comprendre tant bien que mal le contraire, et que Evan vivent constamment auprès de ses parents, cela n'affluât en rien sur le comportement de ces jeunes gens. Evan c'est alors durant toutes ses années, fait à cette solitude qui lui pèse sur le coeur.
Au bout d'un certains temps, eu garçon eu une étrange sensation dans la nuque, il jeta rapidement un oeil autour de lui, et ne vit rien. Pensant que cela était dû à son imagination, il continua son chemin l'air de rien.
C'est alors, que deux silhouettes sortirent de derrière un arbre. La plus grande était vêtue d'une longue veste cape noire, tendit que l'autre portait juste une cape beige qui pendait jusqu'à ces hanches, et était munit d'un long bâton. Les deux individus portaient leur capuche sur la tête, rendant leur distinction impossible. Cependant, leur voix trahissaient sur leur age, et la plus petite des silhouette semblait être aussi la plus jeune:
- Vous êtes sur que ces lui maître ? Il ne lui ressembla pas vraiment.
L’ombre profita de se moment pour se décaler légèrement sur le côtés de son supérieur.
- Oui, les villageois m'ont certifiés qu'il était le seul garçon du coin à avoir un teint toujours malade. Et lors de la sortit des cours, il était le seul a correspondre a ces critères. De plus, on m'a dit qu'il était asser solitaire.
- Alors restons sur nos gardes, c'est son fils après tout, on risque d'avoir de nombreuses surprises avec lui.
La grande ombre resta un instant pensif, puis finit par une affirmation d'un geste de la tête, l'instant d'après, son compagnon s'éclipsa dans la forêt et y disparut. Puis la grande ombre sortit de sa cachette et continua à suivre Evan.
Ce dernier eu soudainement cette étrange sensation dans la nuque, lorsqu'il se retourna sûr d'être suivit, il ne vit toujours rien. Pourtant, ses sens se mirent de nouveaux en alerte, et instinctivement, le garçon fit volte face et assena par la même occasion un rapide et précis revers du poing.
La frappe du garçon fut stopper aussi rapidement qu'elle n'avait été exécuter par un simple coup de bâton.
La personne qui se dressait devant lui était vêtue d'un pantalon marron ainsi que d'un pull vert, il faisait quelques centimètres de plus qu'Evan et porter un gant en cuir noir sur la main gauche uniquement.
L'inconnu émit alors un faible sourire devant la scène:
- Hum..., je savais bien qu'il fallait se méfier de lui maître, il est aussi imprévisible que son père par moment.
- Effectivement, je vois que comme à ton habitude, tu ne t'ais pas trompé Bakan.
Une seconde voix se fit entendre juste derrière Evan, et lorsque ce dernier tourna le regard dans son dos, il aperçu une autre personne, plus grande, et le visage également camouflé par une veste cape noire.
Le garçon ne savait plus quoi faire, et encore moins quoi dire. Il se retrouver prit en tenaille au milieux de ces deux inconnus sans savoir se qui allait se passait. Néanmoins, la menace qu’il ressentait en cet instant n’était pas grande, car aucune intension malfaisante émanés des ces individus.
La grande ombre esquissa un geste de la main, et son compagnon se désengagea de la position dans laquelle lui et Evan se trouvaient, pour ensuite demeurer parfaitement droit.
- Et bien, et bien !!! Je constate que tu tiens plus du tempérament de ta mère qu'il n'y parait. Mais j'oubliais de me présenter…
L’inconnue retira sa capuche, et Evan put découvrir un homme d'une quarantaine d'année. Celui-ci avait les yeux gris, et des cheveux châtains mi-long coiffés en arrière. Il avait le visage ferme mais souriant, et un étrange tatouage violacé se situait autour de son oeil droit.
-…Je me nomme Silius Tao, reprit-il, et voici mon élève, Bakan Inïas.
L’homme désigna de la main son compagnon, et celui-ci se découvrit également, laissant apparaître un jeune homme blond du même age que Evan, coiffé court, le regard indifférent a se qui l’entoure, et les trais de son visage le désignaient comme quelqu’un de constamment sérieux.
Puis Silius reprit la parole:
- Je m'excuse que nos présentation se soit dérouler de cette manière, mais vois-tu, je suis un très vieil ami a tes parents, et tel que je les connais, j'ais eu peur que tu ne sois...comment dire...un peut étrange sur les bords.
L'homme afficha un large sourire dans le but d'effacer l'inquiétude et le doute qui subsistent dans l'esprit du garçon.
Evan ne savait pas trop quoi faire devant un tel revirement de situation, ou plutôt, il ne s'y attendait pas le moins du monde. Il y a un instant, cette homme aurait été capable de l'immobiliser en un rien de temps, mais la seconde d'après, ce fut une grande bonté qui émaner de lui, il ne sut pourquoi, mais son comportement lui rappelait bel et bien celui de ces parents. Si sa se trouve ils ont étaient élevés dans le même endroit, pensa-t-il, sa pourrait être une preuve
Mais le garçon préféra cependant jouer la carte de la prudence, il ne connaissait rien de ces deux personnages, ni si ils disaient vraie.
- Avant tout, dites moi une chose que seule mes parents pourraient savoir, et qu'ils me diraient a moi ou a un ami fidèle comme vous.
Silius resta un instant étonné devant la question du garçon, mais le fait qu'il soit le fils de Argaïl Caïn lui rappela qu'il n'y avait rien d'étonnant dans tout cela, la curiosité avait été le principale défaut de son père
Après un bref sourire, l'homme se penchât aux côtés d'Evan et lui chuchota quelques mots que seul lui et Evan pouvaient percevoir. Cela eu un effet immédiat sur l'adolescent, qui changea rapidement de comportement, une bonne humeur s'était installer en lui et il affichait désormais un sourire enfantin.
- O.K !!! Désoler pour se genre de discourt, mais mon père m'a apprit à être prudent dans la vie…
- …Et c'est tout à ton honneur mon garçon, répondit Silius en rendant son sourire au jeune homme. Bien ! Je crois que le moment est venu pour des retrouvailles entre amis.
Silius conclut sa phrase en engageant Evan d'un geste de la main à continuer leur chemin.
Durand le reste du trajet, Silius ne cessa de répondre aux nombreuses questions d’Evan :
- Dites-moi monsieur Tao…
- Appelle moi Silius je te prie, le coupa poliment l’homme dont l’allure et la démarche le rendaient encore plus noble qu’il n’y paraissait.
Jamais Evan n’avait vu pareil homme, sa carrure le déstabiliser à un point qu’il ne se souvenait plus des questions qu’il voulait poser. Puis, après avoir réussit à faire le vide dans sa tête, et chasser cette impression de lourdeur qui émanait de l’individu, Evan put reprendre a jour cette discutions.
- Heu…oui, excuser moi, donc voila…je voulais savoir d’où vous connaissiez mes parents ? Comment vous les avez rencontré, et quel son vos lien avec eux. Et aussi pourquoi est-ce qu’ils ne m’ont jamais parlé de vous, et pourquoi je ne vous ai jamais vu, et…
- …Et si tu reprenais ton souffle ? ironisa Silius, après avoir de nouveau coupé la parole du garçon, il faut dire aussi que le garçon ne s’était pas arrêter depuis qu’il avait commencé à parler. Je crois que sa serait bien pour toi tu ne crois pas !
Evan s’excusa platement devant ses ôtes, effectivement, il avait agit sans vraiment leur laisser un peux de temps. Mais pour lui tous cela était nouveau, il parler avec des gens qui connaissait sa famille depuis longtemps, mais en même temps que lui ne connaissait pas, il n’avait jamais parlé autan en si peu de temps, et en plus a des inconnues.
Devant la mine désoler du garçon, Silius pensa préférable de répondre au moins a quelques questions, même si il n’était pas obliger, il voulait juste que Evan se sente moins seul au fond de lui. Bakan qui avait l’impression de voir deux gamins en train de discuter de tout et de rien ressentit comme une sorte d’agacement au fond de lui. Il en éprouva d’ailleurs l’envie de les tuer tous les deux sur le coup afin de bénéficier du calme de la nature à laquelle il se sentait plus liée que nulle part ailleurs.
Bien des questions et des réponse plus tard, lorsque les petit groupe arriva en vue de la maison des Caïn, Silius ressentit un frisson d'excitation parcourir tout son corps, tendit que dans ses yeux s'affichait une profonde nostalgie. Alors que Bakan lui exprimait un large - mais discret- soulagement lié au fait que les deux autres pipelettes se soient enfin tuent.
Une fois devant le seuil de la porte d'entrée, Evan ordonna à ses invités de l'attendre pendant qu'il allait chercher sa mère. Le maître et l’élève ne protestaient en rien et attendirent patiemment que le garçon revienne.
Une minute après que Evan n’est disparut dans la demeure, Silius et Bakan furent interpellés par une voix douce et suave :
- Bonjour Messieurs, puis-je vous aider ?
Marina revenait à peine de la forêt, une panière pleine de fruit à la main, qu’elle avait surprit ces deux personnes devant sa maison. Elle pensa qu’il devait s’agir d’individu qui réclamait l'aide de son mari, ou alors quelques onguents dont elle était spécialisés.
Silius eu alors l'impression que son cœur allait exploser quand il entendit cette voix, et se retourna lentement pour faire face à son interlocutrice.
- Nous aider..., répondit Silius d'un ton calme enroué par l’excitation, Oh oui !! Et même plus que tu ne le crois, Marina Caïn.
Lorsque les deux individus furent l'un en face de l'autre, lorsque leurs yeux se furent croisés, Marina fut certaine que l’homme qui se trouvait juste devant elle était bien la dernière personne qu’elle pensait voir après tout ce temps.
-Toi...? Cela fut le seul mot qu'elle prononça avant de laissait tomber sa panière, tant les bras l'en tomber.

Durant tout cet instant, Bakan n'avait pas une seule fois changer d'expression, il ne s'adressa que très brièvement a son maître tout en gardant son flegme habituel:
- Maitre ! N’oubliez pas que personne ne doit savoir que nous sommes venues ici.
L'homme acquisa d'un mouvement de tête, puis, d'un pas leste et rapide, se rua sur la jeune femme.

Pendant ce temps, Evan avait passé sa maison au peigne fin, il n'avait trouvé aucune trace de sa mère. Il pensa qu'elle devait se trouver dehors, et espéra que ces invités aient eu plus de chance que lui et serait tombés dessus. Il rebroussa chemin jusque la où il les avait laissés, et quand il arriva sur le seuil de la porte, la scène qui se déroulait devant ces yeux lui coupa le souffle: sa mère et Silius s’enlaçaient joyeusement, les yeux remplit de joie, Marina verser sans s’en rendre compte des larmes de bonheur.
Evan était dans une telle position que l'on eu dit que sa mâchoire allait s'arracher tant elle était ouverte. Il finit cependant par retrouver ses esprits, et se racla fortement la gorge afin que tout le monde puisse l'entendre:
- Hum, hum..., juste amis ? Vous êtes sur ?
Sur le moment, Marina relâcha son étreinte affective, et pointa le regard sur son fils, auquel elle adressa un sourire gêner.
- Excuse moi Evan, j'aurais du te prévenir avant mais...
Evan ne laissa pas le temps à sa mère de terminer sa phrase qu'il répliqua avec un air indifférent:
- Oh !! Moi sa ne me gène en rien, se sont tes histoires. Se qui me gène sa sera comment papa réagira quand il apprendra que tu le trompe.
Marina et Silius ouvrirent de grands yeux suite a la remarque du garçon, Bakan quand a lui préféra baisser la tête devant tant de stupidité. Marina avança doucement en direction de son fils, et prit délicatement sa tête entre ses mains. La femme adressa un sourire amoureux à son fils...et lui colla un magnifique coup de poing sur le sommet du crâne. Bien que s’y attendant, Evan savait que lorsque sa mère venait à le frapper, se n’était jamais par plaisir, c’est pourquoi son instinct l’obligea à ne rien faire d’autre que de se protéger le crâne d’un éventuel revers, dont il savait être les plus dévastateurs chez sa mère.
- Mais tu le fait exprès d'être aussi bête ou quoi ? Sa mère se mettait à railler après le garçon comme jamais, pendant que Silius regardait la scène avec un certain frisson. Tu sais très bien que j'aime ton père plus que tout, je ne suis pas du genre à le tromper, et encore moins avec un ami.
Bakan profita d’un laps de temps pour s’éclipser en direction de son maître l’air inquiet.
- vous m’aviez dit qu’elle était assez impressionnante, mais je n’imaginer pas qu’elle le soit a se point.
Le garçon chuchota tout bas pour que seul Silius soit apte à l’entendre et à lui répondre
- Et encore, avant elle n’y allait pas de main morte quand elle voulait nous faire comprendre quelque chose à moi et aux autres.
L’air nostalgique, Silius se massa instinctivement le sommet de la tête avec un léger sourire sur le coin des lèvres.
Pendant se temps, Marina venait de se penchait vers son fils et continua leur discussion en chuchotant. Dit moi, ton père ne me trompe pas lui au moins ?
Evan resta a la fois surprit et en même temps effrayer devant le changement d'expression de sa mère, mais il réussit néanmoins a prononcer un non de la tête, ce qui afficha un large sourire sur le visage de sa mère, qui lui embrassa énergiquement le front avant de se retourner vers ces invités surprises.
- Bien le bonjour jeune homme, dit elle à l’adresse de Bakan, pourrais-je savoir qui tu es ?
Bakan qui ne savait plus vraiment qu’elle attitude avoir avec une telle femme penchât plus pour la politesse qu’il utilise habituellement lors de certaines formalités.
- Je me nomme Bakan Inïas, répondit-il humblement, je suis l'élève du Seigneur Tao, et je suis honoré de vous rencontrer enfin, Dame Caïn.
Le garçon finit sa phrase en s'inclinant légèrement. Se qui ne laissa pas indifférent Marina, qui lui rendit son sourire avant de se tourner vers son ami.
- Et bien ! Il est polie se petit, je vois qu'il bénéficie d'un excellent professeur
Toucher par la remarque de Marina, Silius se sentit rougir, et en même temps gonflé de plaisir.
- C'est trop d'honneur que tu me fais la, mais dit moi, ou se trouve Argaïl ? J’aurais aimé le voir avant notre départ.
- Votre départ ? Comment ça? Vous nous quitter déjà?
Bien que discrète, Silius perçut aisément la tristesse que ressentait Marina a se moment là. Il savait lui aussi que c’était plutôt injuste de venir comme sa a l’improviste après tout se temps, pour ensuite s’éclipser comme des voleurs.

- Et bien oui, Bakan et moi revenions d'une..., l'homme se retint de finir sa phrase lorsque son regard se posa sur Evan, et passa soudainement d’un air décontracter à sérieux,... d'une affaire très importante, et nous devons retourner chez nous pour faire notre rapport.
- Une affaire ? demanda Evan passionner par l'individu, vous faite quoi exactement comme métier ?
- Nous somme colporteurs, répondit rapidement Bakan, nous vendons toutes sortes de chose, et une fois notre stocke épuisé, nous retournons a notre maison pour refaire le plein.
- Wow !!! Vous devez beaucoup voyager.
- Oh !! Sa c'est sur, nous voyons beaucoup de mondes, surenchérit Silius en s’éclaffant.
- Maître ! Chuchota de nouveau Bakan, Vous compter nous la refaire combien de fois cette blague stupide.
-Bien, il est temps pour nous de partir désormais, reprit Silius, il commence a se faire tard et Bakan et moi avons un long chemin a faire. L’homme préféra ne pas répondre à la remarque pernicieuse de son élève, mais il se jura au fond de lui qu’il lui ferait payer cher se manque de respect, déclenchant ainsi une lueur sadique et cruelle dans son regard.
Marina salua timidement Silius avant de lui sauter au coup, la femme retenait tant bien que mal sa tristesse, mais quelques larmes perlèrent sur ses joues. L’homme essuya les joues de son amie d’un revers de manche, puis lui susurra des mots à l’oreille, dont nul ne put en déchiffrer le sens. Lorsqu’il eu finit, Marina avait retrouvé le sourire, et étreigna fortement son compagnon de jeunesse. Puis, le maître et son élève prirent le chemin de retour, laissant leur ôtes seules.
Quand ils eurent disparue de leur champs de vision, Evan se rappela soudainement d’une question qui lui brûler les lèvres depuis sa rencontre avec Silius, malheureusement, celui-ci n’était plus apte a discuter avec le jeune homme, il se référa alors a sa mère, celle-ci devait sûrement savoir se que cela pouvait bien être, et aussi ce qu’il représenter :
- Dit moi maman, c’est quoi cette marque qu’avait Silius au niveau du visage ? Je n’en n’ais jamais vue de tel
Marina se mit à regarder son fils comme si il avait dit la plus grosse bêtise de sa vie -ce qui n’est pas rare chez lui- et finit par lui demander :
- Une marque ? Quelle marque ?
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MessageSujet: Re: Les Chroniques de Lorkdaille   Les Chroniques de Lorkdaille Icon_minitimeDim 13 Déc - 23:58

Chapitre 3
Les masques tombent



Bien des heures plus tard après la rencontre inattendue entre Marina et son ami de longue date, le crépuscule se rapprochait à grand pas ; la Lune commençait à illuminée le ciel tacheté de quelques étoiles encore timide de faire leur apparition, tandis que le soleil retournait lentement dans son lit, laissant sur son sillage un faible halo violacé dans l’obscurité de la nuit.
L’ensemble du village se préparait afin de célébrer le solstice d’Eté, chaque personnes travaillé dur depuis le début de la journée pour que tout soit en place : les nombreux buffets ainsi que les divers jeux avaient été mis en place, et les occupants des villages voisins arrivaient en masse a chaque instants.
Néanmoins, une seule maison ne participait pas à toutes ces festivités, celle dont l’unique enfant était sans relâche poursuivit par le plus funeste des destins.

La nuit était enfin tombé sur la vallée, et la fête battait son plein. Des attractions toutes aussi plus spectaculaires les unes que les autres donnait le sourire a petits et grands, cela allait du célèbre cracheur de feu, au comique funambule, en passant par les divers stands de jeu de cuisines et de bien d’autre spectacles qui coloraient la fête d’une multitudes personnalités et de lumières chatoyantes.
Au milieu des festivités, deux ombres inconnues de la région se faufilaient tranquillement, la plus grande ouvrait la marche, tendit que l’autre regardait anxieusement autour de lui. Silius ressentit la plainte de son élève et se retourna mains sur les hanches afin de lui faire face.
- écoute Bakan ! Nous somme en avance sur notre itinéraire, alors profite un peu de la fête.
- Mais seigneur, je ne suis pas très à l’aise dans la foule, vous le savait bien.
- Alors il est temps pour toi d’affronter ta peur.
Silius jeta un rapide coup d’œil aux alentours, et son regard se posa sur une chose a laquelle Bakan ne pourrait résister.
- Que dirais-tu de déguster des bâtonner de calamars, dit-il en pointant du doigt un stand où se vendaient de nombreux aliments marins, ils ont l’air succulents, et puis je sais que ce genre de nourriture est ton péché mignon.
Et sans attendre la réponse de son élève, Silius se dirigea vers toute cette bonne nourriture l’eau à la bouche, tendit qu’un Bakan inquiet le dévisager.
- Ne t’inquiètes pas va !! À minuit je te promets que tu n’auras plus rien à endurer, alors essaye de te détendre un peu.
- A vrais dire, c’est pas vraiment ça qui me dérange le plus, c’est le fait que vous ayez fait croire a vos amis que nous partirions, alors que si nous nous attardons ici nous aurions très bien put passer la soirée en leur compagnie. Sa aurait était un très grand honneur pour moi de dîner avec celui qui fut le chef des Archanges.
Gêner par les dernière paroles qu’il venait de prononcer, Bakan se précipita en direction du stand de fruits de mer pour éviter de continuer la discutions.
C’était sans compter sur la perspicacité de Silius, lorsque son élève passa à ses cotés, il lui attrapa doucement mais fermement le bras et le regarda dans les yeux.
- écoutes-moi Bakan, sa voix était calme et son regard montrait qu’il était extrêmement sérieux, je sais très bien se que tu pouvais ressentir devant des personnages aussi importantes, je n’aurais jamais mentit a mes meilleur amis sans au moins avoir une bonne raison. Et cette bonne raison elle m’est tombée dessus comme un coup de poing lorsque je l’ai apprise.
- Vous voulez parler de leur enfant, Evan ?
- Tout a fait, Silius relâcha son étreinte sans pour autant dévier son regard, Vois-tu, il est impératif que notre secret nos soient pas ébruiter, c’est pourquoi je suis sur que Marina et Argaïl n’ont rien révélés de leur passé a ce garçon, ils ont sûrement respecté la règle du silence de notre monde, et nous ne devons en aucuns cas rompre se silence.
Bakan se rendit soudainement compte a quel point son envie de rencontrer Argaïl et Marina l’avait chamboulé, il en avait complètement oublié les règles fondamental de son royaume, et préféra détourner le regard qu’il savait plein de reproche a son mentor. Néanmoins, ce dernier lui pardonna bien rapidement les faute de son élève, il lui promit alors que dés leur retour chez eux, il lui laisserait un temps libre afin de faire le vide en lui. Ce monde semblait si différent pour le jeune garçon, qu’il se demander pourquoi il n’en était pas de même dans le reste de l’univers.

Evan était comme à son habitude lors de cette période de l’année, juché sur le rebord de la fenêtre de la cuisine à contempler l’infinité du ciel. Le jeune garçon avait depuis toujours était pris de liberté et de voyage, mais se rêve était constamment entraver par cette maladie qui suivait le pauvre garçon depuis toujours, c’est pourquoi Evan se reculait de se monde qu’il aurait tant aimer explorer, mais qui le repousser en permanence.
Le garçon pouvait entendre jusqu’ici les rires et les chants des villageois, accompagnés par les musiques de forains et des troubadours de passage, ce qui le fit se sentir encore plus seul qu’à son habitude. Pendant se temps, Marina s’occuper tranquillement de préparer le souper, mais dans son esprit se mêlaient l’inquiétude et la crainte : lors de la discussion qu’elle eu avec son fils plus tôt au sujet de Silius la perturbait intérieurement, elle redoutait le fait que son fils soit désormais atteint de troubles visuels.
Seulement, Evan lui était sur d’avoir vu quelque chose sur le visage du compagnon de jeunesse de ses parents, il en était même persuader, jamais ses yeux ne l’avait trompé lorsqu’il gardait son sang-froid, alors il ne pouvait pas l’avoir inventé, non cela était liée a autre chose, il en avait le pressentiment. Mais faire comprendre des choses pareilles à sa mère révélée de légères complications, voir l’impossible. C’est pourquoi il crut préférable de ne plus s’attarder sur cette discussion longtemps perdu d’avance, et resta assit sur le rebord de la fenêtre
Ces pensées furent alors stopper, lorsqu’il aperçu à la lisière de la forêt une silhouette familière lui faire signe.
Sans détourner le regard, Evan prévenu sa mère d’un air refrogné :
- Voila papa, on va enfin pouvoir passer a table.
Marina laissa alors son plat cuire un instant, et sortit rapidement de la maison afin de se jetait dans les bras de son mari, Evan put percevoir sur le visage de sa mère une immense joie non contenue qui se refléter sur son père un instant plus tard. Evan comprit a se moment là qu’il parlait de leur ancien ami, mais un autre détail ne lui échappa pas, il constata que sa mère avait mit ses mains devant ses lèvres et s’était le plus rapprocher de Argaïl afin de s’assurer que personne ne puisse les entendre. Et par personne, Evan comprenait lui-même, cependant, il déduit qu’il en était le sujet lorsque son père posa son regard sur le jeune garçon.
Evan n’était pas anxieux bien au contraire, mais il redoutait que son père vienne le sermonner sur son état de santé, et préféra alors détourner de nouveaux le regard vers les cieux, la au moins il pouvait s’évader un instant avant de devoir supporter les vérités de se monde.
Lorsque Argaïl et Marina entrèrent dans la pièce, Evan put constater que son père était plus sale que d’habitude : Sa veste cramoisie sans manche était complètement déchirée, la chemise blanche qui recouvrait son torse avait virée au marron vert, son pantalon était en piteuse état, et son visage montrait un net oublie d’entretien hygiénique a cause de la barbe qu’il n’avait pas rasée depuis trois jours.
L’homme paressait plus vieux qu’il ne l’était, et malgré sa dure journée de travail, affichait un large sourire a son fils auquel il ébouriffa les cheveux.
- Mais c’est une manie ou quoi ? Grommela le garçon dans son fort intérieur, qu’est-ce qu’ils vous ont fait mes cheveux ?
- Alors fiston, comment c’est passée ta dernière journée de classe ? demanda Argaïl pendant qu’il déposait ses affaires dans un coin de la pièce
- Bof ! fit mollement le garçon, notre professeur de Théologie nous a encore récité ces stupides Evangiles, avant de nous raconter d’autres stupidités sur l’univers et ses habitants.
Ce que Evan voulait dire par là, c’est que ce professeurs croyait dure comme fer que l’univers était habité par d’autres formes de vie, et qu’une personne en était à l’origine, en fait cet homme était un fervent adorateur de la religion, et bien qu’il en existe de nombreuses de part le monde, il est persuader que rien de tous se qui nous entoure, ne serais si il n’y avait pas eu une puissante entité pour tout créer. Mais Evan n’est pas vraiment du genre croyant, alors quand il a une occasion de donner son avis sur les croyances et la religion, les autres élèves se demande se que faisait le leur professeur avant de devenir prêtre, car une patience pareille sa ne c’était encore jamais.
- Je ne trouve pas que cet homme dise des choses stupides, répondit Argaïl, si telle est sa façon de voir les choses alors laisse le faire comme il l’entend, je pensais te l’avoir suffisamment enseigné.
Evan resta interdit devant les propos de son père, bien qu’il eu raison, le garçon trouvait parfois inutile se genre de comportement et de penser. Pourquoi, sa même lui l’ignorer, ce genre de pensées lui venaient comme sa sans qu’il le veuille, puis sortait inconsciemment de sa bouche.
- Et puis…, reprit Argaïl, si lui, croit a d’autre vie dans l’univers, certain peuvent exposer leur propre point de vue, comme voir des choses qui sont invisible pour d’autre.
Argaïl venait d’employer un ton simple et sans reproche afin de mieux discuter avec son fils, seulement, la tête brûlée qu’il était le perçut différemment.
Evan tourna son regard sur celui de son père, l’air colérique :
- Je sais encore se que j’ai vue ! railla-t-il, et je vous assure que j’ai vue quelque chose sur le visage de Silius, maintenant si vous vous ne l’êtes pas vu et bien tempi. Maintenant on peut oublier cette histoire ?
Argaïl avait certes l’habitude que son fils s’enflamme, comme il aimait à le dire, mais cette fois-ci, le garçon fut plus brutale que d’habitude, comme si il n’était plus le même. Voulant alors remettre son fils en place, Argaïl commença a ouvrir la bouche pour parler, mais fut rapidement devancé par quelqu’un d’autre
- A table !!!
Le sourire aux lèvres, Marina coupa court dans la discussion des deux hommes de la famille en employant le meilleur des arguments lors d’une dispute entre père et fils. Et cela fonctionna a merveille, il ne fallut pas plus d’une seconde pour que tout la petite famille se retrouve en plein repas à discuter jovialement de sa journée, sans pour autan que les cœurs n’oublie se qu’il venait de se passer.
Durant le souper, Evan demanda à ces parents leur enfance avec Silius, cet homme l’avait tellement intrigué qu’il voulait en savoir plus sur lui. Ces dernier lui expliquèrent que l’homme avait grandit dans le même village qu’eux, à Hermet, avant qu’ils ne s’installent définitivement dans la région de Hälgorn. Le père de Silius était colporteur, et ce dernier avait finit par suivre les trace de son paternel. Ils ne purent rien lui apprendre d’autre car Silius n’était présent au village que lorsque le stocke de son père était vide et qu’ils revenaient pour faire le plein. Argaïl narra pendant prés d’une demi-heure les frasques que lui et Silius faisaient étant jeunes, ainsi que les dérouillées que leur infligeait Marina lorsqu’elle ne pouvait plus supporter leurs pitreries.
Evan ne perdit pas une miette de l’histoire passée de ces parents, il s’étonna de ne s’être jamais demandé comment ils avaient vécut autrefois et se dit qu’il devait se rattraper. Etant de nature curieuse, le jeune garçon aimait s’intéresser a tout ce qui l’entourait
Une fois le repas terminé, Evan se mit sortit en enjambant la fenêtre, mais encore une fois, il manqua de s’étrangler.
- Où vas-tu comme sa jeune homme? Demanda Marina a l’adresse de son fils alors qu’elle venait de lui attraper le col de son T-shirt .Tu ne penses quand même pas que je vais te laissait filer dans cette tenue ?
Sa mère empoigna alors la veste du garçon qui pendait à la porte et la déposa amicalement sur la tête de son fils
- Désoler, petit oublie. Répondit Evan jovialement, Puis après avoir enfiler la veste, le garçon continua son chemin, mains dans les poches, et le regard rêveur, rivé sur le ciel. Il n’entendit pas sa mère le prévenir de ne pas rentrer tard, ni lui souhaiter une bonne soirée, il n’entendait plus que l’appel de la liberté.

Après un long trajet au milieux des arbres, a travers lesquels filtraient les rayon argenté de la lune, Evan finit par arriver devant un arbre sur lequel était accrochait une multitude de planches en boit, qui conduisaient jusqu'à son sommet. Le garçon commença son ascension pour arriver sur une plate forme circulaire également faite en bois. Celle-ci couvrait une large surface, sur laquelle Evan s’allongea confortablement. Le garçon écarta les épaisses branches qui cachaient ce ciel d’été sans nuage. Aussi vide et profond que son existence. Evan se sentait constamment comment un aiment quand il le voyait de nuit, comme si ce même ciel l’appelait dans l’infinité du crépuscule. Chaque étoile étaient pour lui un monde dans lesquels il aimerait voyager, des mondes inconnu qui n’attendait que lui. Et oui, quand on est un grand rêveur comme Evan, on peut avoir un gout prononcé pour l’aventure. Même si on est le dernier des mourant.
Coucher, les mains derrière la tête, et le regard perdu dans le vide, le sommeille finit lentement par prendre le dessus sur le garçon, et celui-ci s’endormit profondément, baignant dans la clarté de la Lune, sous la fraîcheur de la nuit.

Soudain, Evan entendue un étrange crie assourdissant, qui lui remonta l’estomac dans son sommeil, et le sortit brusquement de sa faible torpeur. Sans savoir réellement pourquoi, ce crie ne lui fit pas une sensation de peur que toute personne pourrait ressentir a l’écoute d’un tel crie, mais plutôt un sentiment endormit au fond de lui depuis un nombre d’année incalculable, un sentiment qu’il ne prit pas le temps de déceler, car son corps se mit agir de manière assez mécanique.
La respiration haletante, il se mit à regarder instinctivement autour de lui et ces yeux se posèrent sur une intense lueur au loin.
Pensant un instant que cela pouvait être le spectacle qui célébrer la fin de la fête, il fut rappeler a l’ordre par son esprit, la Lune n’affichait pas encore minuit au contraire, il était assoupie moins d’une heure, alors d’où pouvait bien provenir cette lueur. Soudain, son corps fut comme parcourut par une étrange secousse, non liée à la fraîcheur de la nuit, mais plutôt à une sensation inconnu qu’il avait au plus profond de son cœur, son corps ne lui appartenait plus
Sans s’en rendre compte, il venait de descendre de l’arbre avec aisance et rapidité, et avait commencé à se ruer rapidement en direction de cette lumière, qui sans s’en rendre compte, lui tenaillait le corps a chacun de ces pas. Plus il s’en rapprochait, et plus son visage était giflé par un vent chaud, dont une légère odeur de brûler mêlant la cendre et la chair venait lui fouetter le nez.
Lorsqu’il atteint sa destination, Evan fit face au plus horrible de tous les spectacles qu’il lui aurait été donné de voir : sa maison, complètement ravager, était en proie à de gigantesques et monstrueuses flammes. un feu d’une ampleur pareil ne pouvait exister pour le garçon qui était terrorisé, de plus, si il calculer le temps depuis qu’il avait quitté ces parents, ce feu ne devrait même pas être ainsi ses parents auraient du le maitrisé……les pensées du garçon se stoppérent alors pour se tourner vers une seule idées : que sont devenue cest parents.
Cherchant déséspérément autour de lui, deux ombre firent leur apparition devant lui, l’une a l’aspect féminin avec une lueur jaune au niveau du bras gauche qui brillaitpar dessus ces vêtements, et l’autre caché pas la capuche de sa veste-cape avec une lueur au niveau du torse, se combattaient a l’épée, mais l’ombre au visage caché fut plus rapide que la femme qu’il avait comme ennemie, et cette femme s’avérée être Marina, en un instant, sa tête se détacha de son corps et roula dans le brasier, alors que le corps inerte maculé de sang s’écroula aux pieds du vainqueur du combat, qui semblait ne pasdétacher son regard du cadavre, sans préter la moindre attention au garçon.
Evan ne put retenir la peur qui venait de le prendre au plus profond de son être a la moirt de sa mére, ce crie qui l’avait réveillé plus tot retentit a nouveau en lui, brisant sa volonté, et le garçon s’écroula a genoux en sanglotant, complètement détruit.

L’ombre entendit le son produit par Evan lorsqu’il s’écroula, et fit volte-face, l’épée armée, avec une profonde colère dans l’âme.
A la vue du garçon, l’ombre cessa de bouger un instant, complétement perturber. Mais pour une courte durée, une aura malsaine se mit a émaner de l’ombre, qui se rua sur le garçon en rugissant de fureur.
Evan ne pouvait plus rien faire, ni même dire quoi que se soit, la peur de voir ces proches était tel qu’il ne lui incorporait plus de vivre ou de ressentir quoi que se soit, Pour lui, la vie était bel et bien finit, la mort aller enfin réclamer son dût après seize années d’attente.
La distance qui les séparait se réduisit en une fraction de seconde, l’ombre porta le coup fatale juste au-dessus de la tête de Evan…une mort sans douleur se dit le garçon complétment incoscient de se qui se passer autour de lui.
Le son de l’entrechoquement entre l’épée de l’ombre et de l’assasin résonna lourdement. Le coup que venait de porter l’ombre fit reculer l’assaillant sur un métre. Puis lui asséna un nouveau coup avant que l’assassin ne retrouve une position défensice adéquate.
- Toi…, fulminas l’ombre, tu vas payer pour tout le mal que tu as fait. Et encore plus que tes deux camarades…avec toi, je ne me contenterais pas d’une simple tête décapiter… te démambrer sera une satisfaction comme une autre
L’ombre profita de l’opportunité pour lui asséner un rapide coup d’estoc en plein sur le foieet l’assaillant, parvint a se stabiliser de justesse, et à esquiver de la même manière le coup qui lui était adressait. Puis il répondit par une frappe sur le flanc droit de l’ombre, qui réussit également la prouesse d’éviter une telle attaque en exécutant un tour sur lui-même tout en effectuant un déplacement latéral.
Ce fut plus un massacre qu’un combat qui se déroula entre les deux combattants sous les yeux de Evan, la supériorité de de l’ombre par rapport à son ennemi était pour lui incontestable, mais surtout, il ne comprenait plus rien a se qu’il se passé. Cet inconnut avait attentait a sa vie après avoir volé celle de sa mére, puis il se met a le sauver…vraiment incompréhensible comme histoire.
L’ennemi perdait du terrain a chacune des attaques lançaient par l’ombre, la force que celui-ci employer le faisait sans cesse reculer, et la vitesse de ses coups rendaient encore plus difficile le combat, c’est comme si l’air ne ralentissait pas les coup de l’épée de l’ombre.
N’ayant plus d’autre solution que la fuite, l’homme se mit soudainement a se contorsionner d’une façon impressionnante, comme si il était dépourvut de vertébre, esquivant par la même occasion le coup fatale qui lui était destiner entre les deux yeux, le combat put enfin de venir équivalent des deux cotés, les deux ennemi rivalisé de talents a l’épée et de faculter de combats hors norme,mais la supériorité de l’ombre ne changea pas un seule instant, malgrés ces facultés, l’assassin fut contraind d’esquiver une nouvelle attaque mortel en allant s’enrouler autour d’un arbre qu’il gravit a la manière d’un serpent
Puis, par provocation, l’individu se mit à persifler après l’ombre, et en profita pour troquer son épée contre deux dagues recourbées imprégné de poison.
- Assez rigoler maintenant Tao, persiffla l’assassin. Il est temps que je te fasse ravaler ta petite geule d’amour.
Le fait que cet assassin de pacotille joue autant avec son honneur mit un therme définitif a sa vie. Silius retira alors la capuche qui recouvrait son visage, et son ennemi put lire clairement dans son regard la fureur de tuer.
- misérable insecte, lâcha Silius d’un ton froid et sec,toute ta vie tu a regarder les gens de haut, sans même te rendre compte qu’en fait, c’était toi l’être insignifiant…Aujourd’hui, tu a dépassé les limites du raisonable.
Tout en parlant, Silius tendit sa main en direction de l’inconnue, et c’est alors qu’Evan vit luire un nouvelle éclat de couleur bleu irrisé sur l’avant bras droit de Silius, et de sa main surgit alors un faible cintillement cristalin, qui se transforma rapidement en une longue arbalète argentée contrastée de reflets cuivré et ocre qui fixait désormais le meurtrier. On pouvait clairement ressentir l’aura de meurtre qui émanait de Silius a se moment là… cette aura qui le rendait si redouté auprés de ces ennemis, ce type venait de la découvrir. Devant cela, l’assassin ne possédait plus la volonté de se battre, l’écart de puissance entre lui et Silius était beaucoup trop grand, il en eu la certitude lorsque leur regard se croisérent, ce n’était pas avec des simple dagues, et encore moins avec ces facultés qu’il arriverait a gagner, pour lui, seule la fuite semblait juste…non, la fuite ETAIT la seule chose a laquelle on pouvait penser façe a une telle puissance, mais la peur qu’il ressentait a se moment le paralisé entiérement.incapable de bouger, l’assassin devait attendre sa mort dans la terreur la plus totale

Avant même que son ennemi ne tente quoi que se soit, Silius, visa rapidement l’individu, et son arbalète se mit alors produire des nombreuses étincelles, jusqu’à se que le résultat donne forme à une flèche entièrement composée d’électricité.

- Que le jugement s’abatte sur ton âme égaré, plasmodia Silius, Néosiens de bas étage !

Le coup fut rapide et précis, Silius venait de tirer en plein dans la tête du meurtrier, lui laissant ainsi un troue supplémentaire par lequel circulerait l’air. Le corps de l’homme retomba sur le sol dans un craquement sourd, sans vie

Evan avait suivit se combat spectaculaire sans ciller un instant, mais lorsque l’éclair atteint sa cible, le crie retentit a nouveau dans l’esprit d’Evan, déchirant son âme en morceau et lui tenaillant les entrailles. La peur, et la douleur se mirent à secouer son corps tout entier, et s’en qu’il ne s’y attende, une gerbe de sang jaillit hors de sa bouche. La gorge en feu, le garçon ne pouvait que se trainer par terre, victime d’une souffrance éternelle, en train de pousser des raclements de douleur.
Alerté par la souffrance du garçon, Silius retourna auprès de lui effrayer par ce qu’il voyait.
- Evan, est-ce que sa va ? tu es blessé ?
Le garçon ne pouvait rien faire d’autre que cracher encore et toujours des gerbes de sang. Il finit par se plier en deux sous l’effet de la douleur qu’il ressentait en se moment même, tout son corps lui faisait endurer les pire souffrances.
Silius, se mit à regarder autour de lui, dans le but de trouver une aide précieuse.
- BAKAN ! hurla-t-il dans la nuit, VIENS VITE J’AI BESOIN DE TOI !!!
Après un instant d’attente, un amoncellement de terre fit une lente ascendance à la surface, ce tas de boue prit rapidement une forme humaine et une fois terminer, Silius constata que son élève affiché un air soucieux.
- Maître !! Je suis désoler, je n’ais pas réussit a les rattraper. Ils se sont séparés et…
Bakan ne termina pas sa phrase lorsqu’il découvrit l’état dans lequel se trouvait Evan. Il se rapprocha rapidement et commença à inspecter le jeune garçon. Mais devant l’intensité du brasier, Il crut bon de l’emporter avec eux dans un endroit plus tranquille, il craignait que des curieux ne s’approche trop et les découvre.
Silius ne réfléchit pas un seule instant aux conséquences et s’empressa de prendre Evan dans ses bras encore agonisant, pui fit un signe de la tête a Bakan. Ce dernier se mit a plaquer ces mains l’une contre l’autre et entra dans une sorte de méditation, puis la terre autour d’eux se mit a tournoyer en s’élevant lentement autour d’eux, et les recouvrit jusqu'à se les trois individus ne soit plus qu’un amas de pierre. Et pour finir, s’enfonça dans le sol.
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